Taxe d’apprentissage 2025

Si vous souhaitez nous soutenir, contribuer ainsi à la formation des ingénieurs de demain et aussi gagner en visibilité auprès de nos élèves ingénieurs, c’est à partir du 26 mai 2025 (date du début de la campagne ) !

Chaque participation compte, nous permet d’enrichir nos ressources pédagogiques et de financer des projets innovants pour nos élèves ingénieurs.

Une dotation de 1 million d’euros

Paul de Goÿs, ingénieur Polytech lillois en spécialité Matériaux diplômé en 2023 étudie avec Joseph Risson (ISAE-Supaero) une hybridation technologique entre un turbopropulseur à hydrogène et une pile à combustible pour accélérer la décarbonation du transport aérien.

Ce projet innovant de propulsion décarbonée vient d’être distingué par la Fondation Lopez-Loreta qui leur a attribué une dotation d’un million d’euros.

Cette bourse doit leur permettre de valider la technologie d’innovation de leur projet, VIRAJ H2.

Leur technologie combine une turbine à hydrogène et un moteur électrique alimenté par une pile à combustible.

Envie d’en savoir plus ? Un article du Figaro Etudiant

La CREP fête ses 10 ans !

2014 : année de création de la Coupe Robotique des Ecoles Primaires et aussi année de naissance des élèves qui étaient à l’école ce 16 mai 2024 pour cette 10e édition qui avait pour thème… les jeux olympiques  !

12 écoles primaires de la métropole et plus de 300 élèves ont ainsi relevé le défi avec leurs pistes d’inspiration olympique et présenté le parcours de leur robot devant un jury. 
Félicitations à l’école Toulouse Lautrec de Villeneuve d’Ascq qui remporte cette édition 2024 !

Porté depuis 2014 par Polytech Lille et l’inspection de l’éducation nationale de Lille-Lambersart, ce dispositif a rassemblé, depuis 2014, près de 2 700 élèves d’écoles primaires qui ont appris à programmer un robot, coachés par des élèves ingénieurs Polytech lillois.

Mobilité au Japon

Futur ingénieur Energie et Industrie du Futur, Yassine est actuellement au Japon, à Oita sur l’île de Kyushu (à deux heures d’avion de Tokyo).

Il y effectue son stage de 4e année, au sein de Mitsui Engineering &Shipbuilding, une compagnie spécialisée dans la construction de grues portuaires au niveau national et international.

Je suis intégré à l’équipe de recherche du département de contrôle.
J’étudie des cas d’optimisation. C’est à dire que l’on a du matériel qui marche selon un système, et on doit l’améliorer pour gagner en efficacité avec des temps de cycles et des compilations plus rapides, en vue d’obtenir des résultats plus satisfaisants.

Je dois rechercher les solutions et les mettre en place. Je viens juste de commencer ma mission donc je n’ai travaillé  pour l’instant que sur des simulations.
Il est bien sûr prévu que je présente mes résultats (rapports et présentations) au reste de l’équipe de recherche.

Je travaille précisément sur l’optimisation des procédures de chargement et déchargement de containers d’un bateau cargo. Pour l’instant plusieurs solutions sont testées en simulation et j’établirai une comparaison par la suite.

Ici, le travail se base deux critères. La confiance : on met tout à votre disposition et on s’attend à ce que vous œuvriez efficacement. On ne m’a pas demandé par exemple si j’étais en capacité d’effectuer ma mission mais en combien de temps je pouvais présenter des résultats. Le second critère à respecter : rigueur et ponctualité 

Bientôt la CREP !

Quelle école pour faire aussi bien que l’école Toulouse Lautrec de Villeneuve d’Ascq en 2024 ?

Rendez-vous ce 15 mai à l’école avec les 12 écoles en compétition… 
300 enfants seront accueillis dans l’école et de nombreux élèves seront mobilisés pour cet événement phare à l’école depuis 11 ans !

Porté depuis 2014 par Polytech Lille et l’inspection de l’éducation nationale de Lille-Lambersart, ce dispositif a rassemblé, depuis 2014, près de 3 000 élèves d’écoles primaires qui ont appris à programmer un robot, coachés par des élèves ingénieurs Polytech lillois.

Pluviomètre automatique esprit lowtech

Mathurin, Nestoras et Lucas sont en 2e de parcours préparatoire (avant leur entrée en cycle ingénieur en septembre 2025).

Dans le cadre de leur bureau d’études, ils ont développé un pluviomètre automatique pour un laboratoire de recherche partenaire de l’école. Ils ont bien sûr du présenter et défendre leur projet.

Les élèves de seconde année de cycle préparatoire travaillent en mode « bureau d’étude » sur un semestre. Cette année, la thématique était « L’eau et les lowtech* », en partenariat avec le LASIRe (laboratoire de spectroscopie pour les interactions, la réactivité et l’environnement).

« Ce dispositif est un pluviomètre automatique, c’est-à-dire un appareil capable de collecter l’eau de pluie de manière autonome. Il est équipé d’un capteur de pluie, d’un couvercle motorisé qui s’ouvre et se ferme automatiquement, et d’un système de contrôle (géré par une carte électronique arduino) qui décide quand ouvrir ou fermer le couvercle.

L’objectif de ce pluviomètre est de récupérer l’eau de pluie sur des périodes précises, par exemple seulement 20 minutes sur une pluie d’une heure. Cela permet ensuite d’analyser cette eau, notamment pour mesurer la présence de métaux lourds ou d’autres substances.

Il est important d’avoir un couvercle car il ne faut pas que l’air altère trop l’eau de pluie du pluviomètre (ce qui fausserait les études). »

« L’appareil dispose de plusieurs modes de fonctionnement :

  • En mode manuel, on peut choisir précisément quand il doit s’ouvrir (après un certain délai une fois que la pluie commence) et combien de temps il reste ouvert. Ce mode est utile lorsqu’on veut contrôler finement la période de collecte.
  • En mode automatique, le pluviomètre s’ouvre dès qu’il détecte la pluie, reste ouvert tant qu’il pleut, puis se referme quand la pluie s’arrête. »

« Il existe aussi deux modes forcés : un pour forcer l’ouverture (il reste ouvert même sans pluie), et un pour forcer la fermeture (il reste fermé même s’il pleut).

Ce système permet donc une collecte précise et flexible de l’eau de pluie, utile pour différents types d’analyses ou d’expérimentations. »

*Lowtech ou « basse technologie » en français : désigne la conception et l’usage d’une technologie à faible impact environnemental, économique et accessible à tous.

Elève ingénieure 2025

Elle était nominée pour être l’élève ingénieure de l’année par la CDEFI (Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs) qui portait fièrement sa 15e édition d’Ingénieuses, le concours national de promotion de la mixité dans les sciences et technologies et de valorisation des femmes engagées dans ces secteurs. Ce jeudi 15 mai, Lolita a finalement été désignée comme Femme du Numérique 2025 !

Bientôt ingénieure Informatique et statistique (elle est en dernière année) Lolita est actuellement Data Science Developer (en apprentissage) chez AXA France.

Elle évolue entre les pôles Data Science, actuariat et innovation. Ses missions lui permettent d’explorer des problématiques complexes au croisement de la santé, des données et de l’intelligence artificielle.

Elle poursuit également des recherches personnelles autour de la santé et de l’intelligence artificielle.

En 2024, elle a été accueillie pendant quatre mois comme chercheure invitée au sein d’un laboratoire de recherche de la faculté de médecine à l’université de Toronto au Canada pour travailler sur la question suivante : « L’intelligence artificielle peut-elle améliorer les systèmes de santé dans les pays à revenu faible et intermédiaire ? ».

Découvrez son site web !

Engagée sur les enjeux d’inclusion dans les métiers du numérique, elle a rejoint l’association Witech qui œuvre à inspirer les jeunes des quartiers populaires et zones rurales à travers la découverte des nombreuses possibilités offertes par la technologie. Objectif : les préparer aux défis numériques de demain.

Son engagement social trouve aujourd’hui un prolongement dans son parcours professionnel et ses projets personnels !

Mon apprentissage en 180 secondes

Apprenti ingénieur génie civil chez Tisserin Promotion, Mathis vient de décrocher la seconde place du concours « Mon apprentissage en 180 secondes » porté par Formasup Hauts de France (Centre de Formation des Apprentis).

Passionné par l’ingénierie et la construction, il vient de relever ce défi et pas des moindres : savoir séduire et convaincre un public.

« Je me suis lancé dans cette aventure car je me suis dit que c’était une super opportunité de parler de ce que je fais, de ce que j’aime et surtout de mettre en avant l’apprentissage qui pour moi est le meilleur parcours possible pour des études supérieures.

J’ai eu 2 séances de coaching de 4h pour me permettre d’apprendre à parler devant un auditoire et d’avoir une présence scénique plus naturelle. J’ai aussi pu retravailler le texte que j’avais écrit avec mon coach. »

Actuellement en 4e année de cycle ingénieur par apprentissage, Mathis est responsable technique chez un promoteur immobilier, Tisseron Promotion.

« Je suis chargé de suivre les travaux de construction de différents programmes portés par mon entreprise.

Mon objectif est de respecter les délais et les coûts pour la construction de chaque projet. Je suis par exemple en ce moment deux projets en cours de construction : un bâtiment de 35 logements collectifs à Haubourdin et 17 maisons individuelles à Seclin.

Et également un projet en cours de préparation dans la ville de La Sentinelle, 9 maisons individuelles et un bâtiment de 33 logements collectifs. »